DEMON 24/04/20

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A propos de DEMON – « Dømɔ̃ »
Là où la poésie nous console de vivre :
Demon, alias Grégoire Cuvier, est baigné dans son enfance par du George Harrison, T-Rex, The Who, Janis Joplin ou bien encore Crosby, Stills, Nash and Young. À 16 ans, il s’improvise bassiste dans un groupe de rock, The No Ducks, qui écrit et compose ses propres compos, mêlées à des reprises de Black Sabbath, Lynyrd Skynyrd, Led Zeppelin, ou encore AC/DC, et se met à apprendre la guitare sur une vieille nylon, inscrivant subrepticement dans son ADN la chanson rock. À la même époque il écrit des poèmes dont il est l’unique lecteur, des textes dont il ne soupçonne pas encore qu’ils deviendront la matière première de ses chansons.
À l’aube de ses 17 ans sa vie bascule quand sa mère se suicide. Un ras-de-marée qui inonde le reste de sa vie, un Tsunami intime qui conditionne l’existence, le rapport au monde, aux autres, à soi, à sa propre histoire. C’est la rencontre impromptue du théâtre, quelques années plus tard, qui viendra chambarder cette vie vide de sens. Une profession théâtrale s’ouvre a lui plusieurs années durant. il continue à écrire des poèmes, ressort sa guitare, les poèmes deviennent des chansons. Un répertoire original voit peu à peu le jour.
Coaché en voix par Nathalie Bonnaud à l’ATLA, accompagné par Manu Larouy au Studio des Variétés, il croise Benjamin Georjon en coaching scénique, fait ses premiers concerts dans les Yvelines, à Montrouge et à Paris. En 2020 il est accompagné en développement de projet par la Manufacture chansons à Paris.
À travers ses chansons Demon convoque l’absence, l’Amour, la folie et autres failles de nos vies. Accompagné d’une Telecaster et d’une réplique de Princeton ‘64, sa voix se promène entre ciel et terre, les fêlures de l’âme se distillent au fil des chansons, les rythmiques rock promettent à l’aube une réconciliation. Car au fond c’est là qu’est la source artistique de Demon : la puissance cathartique de l’art, art qui donne à la vie la peine d’être vécue. Les textes de Demon dansent sur la brèche, magnifient nos blessures et s’invitent sur les chemins sinueux d‘un Thiéfaine ou d’un Bashung, là où la poésie nous console de vivre.

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Posted on 14 février 2021 by Fabrice HOUIS
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